À propos de dao yin guan:
Équilibre énergétique et santé intégrative.

dao yin guan, cabinet de médecine traditionnelle chinoise / taoïste.
La Christao Thérapies pour harmoniser le corp, l’esprit et l’âme.
Soins personnalisés pour une santé optimale et un bien-être durable.

1 – l’étymologie du nom et historique
Le tao Yin ou daoyin ou dao yin, en chinois traditionnel 導引, en chinois simplifié : 导引, en pinyin: dǎoyǐn, qui peut se traduire en « guidage et étirement ») est une forme de médecine chinoise pratiquée depuis l’antiquité, pouvant être associée à des exercices respiratoires (tǔnà 吐納/吐纳), des exercices de concentration mentale (cúnsī 存思) et une technique d’acupression (diǎnxué 點穴/点穴)et bien d’autres techniques.

C’est l’une des nombreuses pratiques visant à préserver ou à rétablir la santé et à prolonger la vie appelées yǎngshēng (養生/养生)
C’est l’un des précurseurs des actuels qìgōng et de certaines techniques des courants d’alchimie interne comme Quanzhen.

Le dǎoyǐn est particulièrement lié à la culture taoïste, mais a été adopté également par des moines bouddhistes.

Le travail sur le souffle et l’énergie interne était déjà pratiqué par les Maîtres de l’Antiquité, aussi existe-t-il des écoles taoïstes, bouddhistes et confucianistes de Qi gong, lesquelles ont grandement influencé le développement de la médecine chinoise traditionnelle. Les pratiques du Qi gong se transmettaient de façon le plus souvent privée et secrète entre Maîtres et Initiés.

Différentes traditions sont apparues au fil du temps : le dǎoyǐn attribué aux
deux immortels de l’antiquité Chìsōngzǐ (赤松子) et Wáng Zǐqiáo (王子喬/王子乔), les pratiques respiratoires inventées par le moine Jiànzhēn ( 鑒真/鉴真) de la
dynastie Tang, le dǎoyǐn du moine Guǎngdù (廣渡/广渡) de la dynastie Song, la série des « huit pièces de brocart » (bāduànjǐn 八段錦/八段锦) attribuée par la légende aux généraux Zhongli Quan des Han ou Yue Fei de la dynastie Song, mais datant sans doute du XIIIème siècle; et la « méthode dǎoyǐn des personnes âgées » (lǎorén dǎoyǐn fǎ 老人導引法) créée par Cáo Tíngdòng (曹廷棟/曹廷栋) de la dynastie Qīng.

En 1949, Liu Guizhen a créé le nom de « qigong » pour désigner le système de pratiques de préservation de la vie que lui et ses associés ont développé, basé sur le daoyin, où la partie spiritualité a été enlevée.
( source : « L’homme qui a inventé le « Qigong » (PDF) . Qi : Le Journal de la Santé et de la Forme Physique Traditionnelles Orientales . 23 (3) : 28–33. Archivé (PDF) de l’original le 19 octobre 2014.)

Le Qigong a été connu en dehors de Chine dans les années 1990, et des essais cliniques contrôlés randomisés examinant l’efficacité du qigong sur la santé et les problèmes mentaux ont commencé à être publiés dans le monde entier, ainsi que des revues systématiques.
( sources : Yang, Jwing-Ming (1998).L’essence du Taiji Qigong, deuxième édition : Les fondements internes du Taijiquan (arts martiaux-Qigong). Centre de publication YMAA.ISBNCITEREFYang1998CITEREFYang1998 978-1-886969-63-6.) «Tai chi et qi gong : en profondeur ». Centre national pour la santé complémentaire et intégrative, Instituts nationaux de la santé des États-Unis. Octobre 2016.)

Reconnue en Chine, à la fois par le Ministère des Sports, le Ministère de la Santé, mais également par l’Association chinoise de wushu et la Chinese Health Qigong
Association, cette méthode est enseignée dans les universités des sports dont celle de Pékin et les universités de médecine traditionnelle chinoise.

Le guǎn
Le guǎn ( piyin) (en mandarin). 館 en écriture chinoise traditionnelle et 馆 en chinois simplifié) ou kuan ou kouan est le lieu où sont exercés les arts martiaux chinois, équivalent du dojo japonais, bien que la structure et le style d’enseignement soient distincts entre le guǎn et le dojo. Ce terme désignait initialement un temple taoïste.

2 – Présentation de l’organisation
L’organisation dǎo yǐn guǎn ( piyin ) est la structure qui permet à Zhi Huà (21ème génération de la lignée Longmen) de proposer des soins de bien-être énergétiques et holistiques, basés sur les principes de la médecine chinoise traditionnelle et de vendre des produits « cosmétiques » en lien avec les pratiques.

Ces pratiques de l’énergétique traditionnelle chinoise participent à la médecine intégrative et offre aux patientes / patients une approche thérapeutique globale, centrée sur la personne et son projet de soins.
Elle met ainsi les patientes / patients au centre de leur projet de santé, et les encourage à s’impliquer activement dans leurs soins. Ils ne remplacent jamais ni les soins de la médecine conventionnelle ni les diagnostics ou prescriptions d’un médecin.
De même les produits ne sont pas des médicaments, mais sont qualifiés de
« cosmétiques de classe 3», ce qui n’enlève rien à leur efficacité.

Vous pouvez les trouver dans des pharmacies, notamment en Suisse.
L’organisation adopte les quatre principes de l’éthique médicale qui sont l’autonomie, la bienfaisance, la non-malfaisance et la justice, respecte des règles écologiques en cohérence avec la nature qui sont l’un des principes fondamentaux du taoïsme.

L’organisation est membre de l’Institut Feng Huang qui étudie les arts internes et
externes chinois.

Zhi Huà (21ème génération de la lignée Longmen) reçoit les patients uniquement sur rendez vous qui peuvent durer 1 à 2 heures suivant les pathologies ou/ et les patients.